Apparently, many subjective and objective (cas régime) forms of words were still used in Middle French, at least into the late Middles Ages, if you go through the etymologies of French words. Here are some examples of words in modern French that are reflexes of the Latin nominative, from the Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales:
French on:
... Du lat. homo, cas suj. du subst. signifiant «homme», développé en position proclitique, et qui, à basse époque, est relevé dans qq. ex. comme suj. indéterm., emploi aboutissant à sa fonction de pron. indéf.: Peregr. Aether. 13, 1: "ubi homo desiderium suum compleri videt"
French fils, "son":
... Du lat. class. filius « fils, enfant »; « descendants » en b. lat. La forme actuelle représente l'anc. cas sujet conservé en raison de son emploi fréq. comme vocatif et prob. aussi pour éviter la confusion avec fil.
A similar cross-pollination from the vocative occurred with French soeur, "sister" (the Old-French oblique case seror falling out of use):
Du lat. soror « sœur ». L'a. fr. avait les formes suer, cas suj., et seror, avec différentes var., cas régime issu de l'acc. sororem, très tôt le cas suj. devint le plus usuel à cause de son utilisation fréq. au vocatif.
Another good candidate is corps (OFr. cors); the nominative is not mentioned as such, but, the word being neuter in Latin, nominative and accusative were identical in form, so it would seem likely for that form to be used rather than some declined form.
... Du lat. class. corpus, attesté aux sens de base A 1, 2, 3, B 1; sens C en lat. class., repris en fr. surtout au xvie s.; le sens D est également latin; ...
There's also croix and champs, but those probably come from plurals, in which nominative and accusative are formally identical.
Italian uomo (pl. uomini) appears to come from the nominative homo too. The Vocabolario Etimologico della Lingua Italiana by Pianigiani is not entirely clear; lacking further knowledge about the phonology of that time and a reliable source, we cannot be absolutely certain that the word wasn't shortened from huomino, or something like that. The same applies to Provençal hom.
This Spanish etymological-dictionary website says hombre comes from hominem but luz, paz, voz, cruz from lux, pax, vox, crux; however, I would not trust this dictionary: it sounds rather amateurish all over. I couldn't find any good, relatively modern etymological dictionary for Spanish.
Update: This quotation from Wikipedia lists more examples for French:
La forme unique du français moderne dérive le plus souvent du cas régime. Il y a cependant un certain nombre d'exceptions où c'est le cas sujet qui a survécu, concernant les noms de personnes : ex. prestre / provoire (« prêtre »), ancestre / ancessor (« ancêtre »), traïtre / traïtor (« traître »), suer / seror (« sœur ») et de nombreux prénoms. Dans quelques cas, le cas sujet et le cas régime se sont tous deux maintenus dans la langue moderne, parfois avec des sens différents : c'est le cas pour gars / garçon, copain / compagnon, sire / seigneur, pâtre / pasteur, nonne / nonnain et pute / putain. [The first word of each pair is the Old-French nominatif.]
A few more French examples:
Moindre, and many other nominals on -dre:
Anc. cas suj., issu du nomin. lat. minor, compar. de parvus «petit en taille, nombre, quantité, valeur, âge, rang, condition, importance», le cas régime étant meneur issu de l'acc. minorem, v. mineur. Dès la fin du xiie s. mendre fut employé au cas régime sing., puis aux cas suj. et régime plur., évinçant meneur.
Gindre:
Anc. cas suj., issu du lat. junior nomin., compar. de l'adj. juvenis « jeune ».
Probably queux:
Étymol. et Hist. Ca 1100 cous cas régime plur. (Roland, éd. J. Bédier, 1817); ca 1165 keu cas suj. plur. (Guillaume d'Angleterre, éd. M. Wilmotte, 1818); 1174-76 coeu cas régime sing.; keus cas suj. sing. (Guernes de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 1291; 1292); fin xiies. princes queurs de la coisine (Prophéties de David, 69 ds T.-L.); ca 1280 Li maistre ques (Merveilles de Rigomer, 7684, ibid.). Du lat. coquus « cuisinier », devenu cocus.
Maire, from a substantivised nominative adjective (and probably many pure nouns on -air(e) that come from Latin -ator):
A substantivation de l'anc. adj. maire «plus grand» ca 1165 (Benoît de Sainte-Maure, Troie, éd. L. Constans, 6031), issu du nominatif lat. major, comparatif de magnus «grand», v. majeur.
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